Ingrédients (pour une quinzaine de cookies)
– 100 g de beurre mou
– 2 cuillères à soupe de sucre
– 100 g de cassonade
– 1 oeuf
– 1 cuillère à café d’extrait de vanille liquide
– 1 cuillère à café et demie de café soluble
– 200 g de farine
– 1/2 cuillère à café de levure chimique
– 1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude
– 1/2 cuillère à café de sel
– 100 g de chocolat noir pâtissier
– 50 g de chocolat blanc pâtissier
– 100 g de chocolat au lait aux noisettes
Recette:
1) Préchauffer le four à 140°.
2) Dans un saladier, avec une cuillère en bois, mélanger le beurre mou avec le sucre et la cassonade.
3) Ajouter l’œuf, le sel, l’extrait de vanille et le café soluble. Mélanger jusqu’à obtenir une pâte homogène.
4) Tamiser ensemble la farine, la levure et le bicarbonate, puis incorporer le tout petit à petit à la pâte.
5) Avec la pointe d’un couteau, détailler des grosses pépites des trois chocolats, et les ajouter dans le saladier.
6) A la main, former des boules de pâte, et les disposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, en les espaçant bien car elles vont d’étaler en cuisant.
7) Cuire 20 à 25 minutes, sortir du four et les laisser tiédir avant de les déguster.
Auto-critique:
Ce soir, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie de vous raconter ma vie (ceux qui viennent de se dire « comme d’habitude »… ne sont pas totalement dans le faux).
Alors alors … pourquoi ces cookies …
Lundi, un gentil collègue (qui est en train de parcourir le blog à l’heure où j’écris ces mots) m’a donné un petit cours de remise à niveau en maths. Oui, parce que les enfants, figurez-vous que 10 ans après, je suis retournée au lycée. Je vous passe les détails que seuls les initiés « Éducation Nationale » pourraient comprendre, mais toujours est-il que je me suis retrouvée dans la situation suivante: aider des élèves en difficulté à étudier des fonctions affines. Alors oui, je savais le faire, oui, j’adorais ça en plus, mais comme le temps de ces verbes l’indique, c’était il y a lonnnnnnngtemps, alors j’avais besoin d’un dépoussiérage de neurones.
D’où l’intervention de mon collègue, d’une patience sans limite, qui s’est avéré être un super prof parce que les élèves que j’ai coachés par la suite m’ont trouvée super douée en étude de fonctions.
Bref, le rapport avec les cookies, me direz-vous? Simplissime. Un cours de maths contre une boite de cookies.
Mais attention, des cookies de haut niveau, ceux que j’avais repérés sur le mur facebook d’une copine, Alex pour ne pas la citer. Elle avait pioché la recette ici, et même si j’ai modifié quelques trucs et certains machins, je dois dire que l’auteur a offert un trésor inestimable à la communauté de cookies-adeptes de la blogosphère.
Dégustés chauds-tièdes, trempés dans un verre de lait, c’est un pur délire pour les papilles: les bords sont croustillants, le cœur est moelleux, les noisettes croquent et le chocolat est encore tout fondant …
Ben quoi, fallait bien que je goûte avant de les soumettre à son implacable jugement… Alors bien sûr, j’en ai laissé plein, et j’espère qu’ils seront tout aussi bons demain à l’heure du (10ème) café…
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